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mercredi 23 juillet 2008

Totale décontraction.




Cet inconnu est loin d’être Monsieur Tout le Monde. Interpellée par son look hippie baba cool, j’ai éprouvé l’envie de capturer son image, armée de mon appareil photos.

mardi 8 juillet 2008

Un aimable lama.



Ce sympathique lama s’est montré très avenant, il m’a salué, mais n’a cependant pas osé sortir de sa grange, vaguement confus d’avoir perdu son joli manteau de laine feutrée.

dimanche 6 juillet 2008

MESSAGE HORS CONTEXTE… J’Y TENAIS.




Je vous connaissais Ingrid Bétancourt bien avant votre enlèvement par les FARC, au travers de votre roman «La rage au cœur». Dans ce livre vous parlez de votre famille, vos convictions, votre engagement politique, votre amour pour la Colombie, votre volonté d’abattre la misère et les cartels de la drogue afin que votre peuple retrouve la dignité, la liberté et ce, malgré les dangers et les menaces qui pesaient sur vous.

Hélas, le 23 février 2002 vous avez été enlevée par les forces armées révolutionnaires. Un très long cauchemar qui allait durer six ans. Une longue et cruelle séquestration pour vous mais également pour vos compagnons de galère.


Vous voilà enfin sortie de cet enfer Ingrid. Certains parlent d'opération médiatique, je suis sidérée par de tels propos. Il est tellement facile de débiter des absurdités. Lorsqu’on ne sait pas, on sabstient.


Ce que vous avez enduré Ingrid Bétancourt durant toutes ces années se passe de tout commentaire. Vous êtes, à mes yeux, la représentante de tous ces êtres qui souffrent, en Colombie. Vous êtes la force, l’amour et l’espoir. Vous êtes la vie. Profitez-en au maximum auprès de tous ceux et celles qui vous sont chers.

Il est évident que les journalistes vont vous harceler de questions, à qui réalisera le meilleur scoop. Quant aux crétins qui osent vous juger, je leur conseille de s'occuper de leur vie étriquée, plutôt que d'avancer ou d'écrire des gravelures.


Chaleureusement et amicalement.

Dominique qui pense à vous, aux quatorze otages libérés, à ceux et celles qui n’ont pas eu cette chance et à qui je continue de penser en Colombie et à travers le monde. Il est temps que tout cela cesse. Consciente que je ne changerai pas le cours de l’histoire, je garde néanmoins l’espoir.